Le circuit sexuel (qui orchestre la réponse sexuelle) est fortement influencé par ce qui se passe dans l’esprit et les émotions. Excitation sexuelle peut être comparé à un circuit électrique, pouvant faire l’objet de pannes à différents carrefours le long de l’itinéraire de réalisation sexuelle. Ces seuils sont les suivants:
- La douleur ; qui peut annuler la réponse sexuelle,
- L’interférence émotionnelle avec la réponse sexuelle comme l’anxiété, la tristesse, la colère, le chagrin et le deuil,
- La distraction – les souvenirs négatifs, l’incertitude de savoir comment se comporter pendant l’acte sexuel, la peur de la grossesse, la peur de contracter une maladie sexuellement transmissible,
- Une autre question de nature psychologique très importante est avoir une image dégradant de notre corps. Ce que les femmes pensent de leur corps a un impact profond sur leur sexualité. Une très pauvre image de leurs corps peut conduire l’ensemble du cycle de réponse sexuelle à devenir dysfonctionnel.
D’autres influences psychologiques qui peuvent être temporaire, épisodique ou même durable peuvent mener à la dysfonction féminine sont les troubles dépressifs. Cela engendre des responsabilités familiales, soucis d’argent, des fausses couches, deuils, les viols, la violence envers les enfants ou les influences religieuses.
Grandir dans une famille avec d’énormes tabous sexuels peut entraîner une diminution de la sexualité, le dysfonctionnement sexuel et des problèmes de l’orgasme. Cela peut provoquer des sentiments de détresse par le biais de la perception de ne pas pouvoir faire plaisir à un partenaire qui résulte en un cercle vicieux d’anxiété. Ca diminue aussi la diminution de lubrification et la douleur dans les relations conduisant à l’annulation du sexe et à terme (dans certains cas) la détérioration des relations familiales. La dépression (ou les médicaments donnés pour le traitement de la dépression) peuvent aussi jouer un grand rôle, avec une perte de confiance et de l’estime en soi.
Une étude britannique a révélé que 6% des femmes interrogées sur leurs difficultés sexuelles étaient déprimés. Historiquement, les femmes qui ont perdu leur auto – la confiance ou l’auto – estime ou souffrent de dépression mai être en mesure d’atteindre l’orgasme parce que quelque chose éteint avant l’orgasme est atteint – peut-être associé à une peur de laisser aller et perdre le contrôle.
Très bien expliqué merci!!
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